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mercredi 11 juin 2014

Pascal Pons






PASCAL PONS












Le dernier à s’être décidé pour le TDC, c’est donc moi.
L’équipe constituée m’a un peu forcé la main, et Guy à lâchement profité d’une soirée de Beaujolais nouveau pour faire valider mon inscription.
C’est Nicole, mon épouse, qui m’a dit : « Puisque tu veux faire le tour du monde, tu ne vas pas laisser passer l’occasion ! »

Ma fille , Auriane, a aussitôt proposé de refaire le travail du blog, et cela donne ce que vous voyez en ce moment.
Nous allons essayer de l’alimenter au mieux, cela dépendra des liaisons internet possibles.

Et l’interview lors du PPL :

Age : 55, le 07/ juillet, puisque né en 1959
Numéro participant : 68
Département : Gard
Ville : Nîmes
Club : Groupe Cyclo Nîmois
Trois grands moments de ma vie cyclotouristique :
1. L’ascension des cols alpins avec mes enfants dans la remorque et mon épouse sur son vélo (Note d'Auriane : Ascension aux kilomètres multipliés car bien sûr, on jetait nos jouets dans la pente, sinon c'était pas drôle !)
2. Les randonnées permanentes avec famille et amis
3. Le bouclage de mes neuf diagonales à l’arrivée à Perpignan
Loisirs : Marche, musique (jouer et écouter), électronique, photo, informatique, repas.
Pourquoi PPL 12 ?
Aventure, découverte, photo, contacts.

Interviewé par Max Creveuil
 

Pascal, j’ai vu en roulant que tu avais accroché à ton casque un ruban rouge et vert, j’imagine que tu es donc originaire du pays Basque
Et bien, pas du tout, je suis de Nîmes et ce sont aussi les couleurs de Nîmes. J’y habite depuis l’âge de 12 ans.
Tu as une longue pratique du vélo ?
J’en fais depuis l’âge de 14 ans, époque à laquelle j’ai adhéré à la FFCT où je suis ensuite devenu initiateur puis moniteur de cyclo-découverte. Maintenant, je m’occupe surtout pour mon Club de tout ce qui touche aux parcours et à l’organisation de voyages itinérants.


On arrive à la fin de la première semaine de l’expédition. Pourrais-tu en faire ta synthèse et nous dire quel est ton ressenti.
Je vais commencer par souligner l’ambiance que je trouve fort sympathique, dans un climat détendu où ça plaisante pas mal. Je n'ai pas été très bien pendant 2 jours, et donc ça m’a perturbé. Sinon, pour l’instant le parcours a été parfois un peu urbain. Mais il suffit de s’éloigner de quelques mètres pour découvrir des choses intéressantes.
Il faut bien sûr parler de tous ces camions rouges qui nous protègent de leur mistral et nous aspirent pendant 50 m ; ça c’est un moment de grand bonheur.
Quel est ton "coup de cœur" de la semaine ?
C’est bien sûr la montée du col dans le Parc National. Et mon arrivée de nuit au sommet restera gravée dans ma mémoire d’autant que ce jour là, j’étais serre-file et malade. Je suis arrivé au sommet à 19h30, en marchant pour éviter les derniers hectomètres verglacés. Heureusement, il y avait une cabane où nous avons pu nous réchauffer. Il y a aussi la semaine de tourisme à Pékin où l’on est passé rapidement de notre environnement à un exotisme total avec leurs toits biscornus et ce milieu qui m’est totalement étranger.
Et une petite ou grande désillusion ?
Pas vraiment, si ce n’est que j’ai été un peu choqué par les abords des routes, très sales avec des sacs plastiques accrochés partout dans les arbres et les buissons.
En dehors du vélo, tu as une autre passion la photo puisque que tu fais partie des photographes qui alimentent le journal ?
C’est un complément à ma passion pour le vélo. Ce que j’aime faire, c’est raconter mes périples, à vélo ou à pied puisque je suis aussi randonneur. Je fais ensuite des diaporamas. Je cherche à privilégier l’originalité de la photo ; j’en prends relativement peu mais j’essaie de soigner les cadrages.
Pour l’instant, nous avons eu la chance de trouver des sujets inhabituels. Ce sera peut-être plus difficile quand nous arriverons dans des pays plus proches du nôtre.

Ndlr. Il n’était pas possible de traduire dans cette interview le bel accent de Pascal ponctué de fréquents rires.

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